Des informations diverses (articles, vidéos) sur l’environnement ou sur des expérimentations intéressantes.

Une cantine sans plastique pour les écoliers, ils l’ont fait !

Depuis 2022, la métropole d’Angers s’est dotée d’une nouvelle cuisine centrale. Ses particularités : elle gaspille moins, fait davantage de bio, et n’utilise plus aucun plastique.

Salade de lentilles, tarte butternut/cheddar et fromage blanc bio et local de la Maison Gaborit. Ce pourrait être le menu d’un salon de thé tendance affiché sur les réseaux sociaux. C’est celui de la cantine des petits Angevins du vendredi 8 novembre. La métropole d’Angers s’est engagée dans une restauration collective vertueuse, Papillote et Compagnie : bonne au goût, bonne aussi pour la santé et la planète. Ici, les cantines sont sans plastique. Un défi de taille, alors que les cuisiniers préparent chaque jour 14 000 repas.
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Constat d’échec pour la réduction des pesticides en France

Les nouvelles données révélées par la carte Adonis des pesticides permettent de comparer l’évolution de la fréquence de traitement pesticides, herbicides et les surfaces en bio en France entre 2020 et 2022. En trois ans, l’Indice de fréquence de traitement (IFT) moyen national mesuré dans Adonis ne baisse toujours pas et passe de 2,36 à 2,37 ; même si elle enregistre une légère augmentation de surfaces cultivées en agriculture biologique (+1,1%), ces chiffres sont un constat d’échec pour la réduction de l’usage de pesticides.
Voir les graphiques et le texte sur le site Solagro.

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Glyphosate : un recours déposé devant l’UE par Corinne Lepage

Au nom de trois associations environnementales, l’ex-ministre de l’Environnement Corinne Lepage attaque devant l’Union Européenne, la réautorisation de mise sur le marché du pesticide.

C’est son combat. Corinne Lepage, ex-députée européenne a déposé le vendredi 2 août, au tribunal de première instance de l’Union européenne, un recours contre le règlement qui a prolongé de dix ans l’autorisation de mise sur le marché du glyphosate.

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Voyager lentement pour se reconnecter au vivant

4 ans, seulement déjà …. Souvenirs

Et si l’interruption du trafic aérien depuis le début de la pandémie était l’occasion de changer ses habitudes ? Voyager sans moteur peut transformer notre relation au reste du vivant – et limiter les dommages écologiques du tourisme.
En train, à vélo, en kayak ou à dos d’âne, les possibilités de voyager en limitant son empreinte carbone sont nombreuses. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, voyager de manière sobre n’implique pas nécessairement de renoncer aux destinations lointaines.

(Re)lire l’article d’Hortense Chauvin (25 mai 2020) sur le site de Reporterre

Pillages : la Chine et l’Europe vident les mers africaines

« Les bateaux qui opèrent dans ces zones sont généralement plus longs que des terrains de football et aspirent littéralement le fonds des océans »

17 000 chalutiers chinois et européens pillent en continue les mers africaines pour satisfaire nos palais occidentaux. Cette injustice qui sévit au large, à l’abri des regards, fait lieu d’exploitation humaine et animale, de conflits et d’écocides. Immersion au cœur d’un drame mésestimé. 
Lire la suite de l’article sur le site Mr Mondialisation

Ces tomates sous serres cultivées dans des conditions opaques

En Normandie, des habitants refusent l’agrandissement d’une entreprise de tomates sous serres. Cela détruirait des terres et userait encore plus la santé des travailleurs, surexploités dans des conditions opaques.
« Le paysage va être bouleversé, le bocage ainsi qu’un hameau seront détruits. Je voudrais voir des agriculteurs travailler la terre plutôt que des serres artificialisées. »

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Victoire citoyenne contre le plus grand chalutier pélagique du monde

La mobilisation citoyenne a eu raison du plus grand chalutier pélagique du monde. Depuis janvier dernier, BLOOM, soutenue par des centaines de milliers de citoyens et des dizaines d’associations et d’élus, n’a pas desserré l’étau sur le dossier sulfureux de l’exploitation par une société française, la Compagnie des pêches de Saint-Malo, de l’Annelies Ilena, un navire gigantesque de 145 mètres, rebaptisé « navire de l’enfer » en Mauritanie, dont il a été chassé pour ses abus multiples. Le projet de la Compagnie des pêches d’installer une usine de surimi à bord du navire reposait sur un transfert de quotas vers la Pologne, où l’Annelies Ilena est pavillonné.

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