Voyager lentement pour se reconnecter au vivant

4 ans, seulement déjà …. Souvenirs

Et si l’interruption du trafic aérien depuis le début de la pandémie était l’occasion de changer ses habitudes ? Voyager sans moteur peut transformer notre relation au reste du vivant – et limiter les dommages écologiques du tourisme.
En train, à vélo, en kayak ou à dos d’âne, les possibilités de voyager en limitant son empreinte carbone sont nombreuses. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, voyager de manière sobre n’implique pas nécessairement de renoncer aux destinations lointaines.

(Re)lire l’article d’Hortense Chauvin (25 mai 2020) sur le site de Reporterre


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