Jus de clémentines – bouteille de 75 cl – Vitamont
Vin blanc Chardonnay sans alcool – 75 cl – OPIA Ce vin à 0% d’alcool car il n’a pas été fermenté (à savoir que certains vins sans alcool sont fermentés puis désalcoolisés, il y a donc des résidus d’alcool).
Une série documentaire (3 épisodes) inédite de L214 L214 a enquêté sur le plus grand syndicat agricole français, la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles), qui prône une agriculture productiviste et intensive. À l’aide d’images d’archives, d’interviews d’éleveurs et de synthèses graphiques, les épisodes explorent de multiples facettes de ce syndicat faiseur de ministres. Il met en lumière sa restructuration de l’agriculture, ses conflits d’intérêts, mais aussi les conséquences désastreuses de son action pour les éleveurs, l’environnement et les animaux. De nombreux graphiques et schémas sont accessibles directement dans le texte d’accompagnement.
La majorité réactionnaire du Sénat, soutenue de fait par la ministre de l’agriculture, vient d’adopter un amendement à la loi de finances qui supprime brutalement l’Agence Bio. Alors que la bio traverse une crise sans précédant, la suppression de l’Agence bio, si elle était confirmée en Commission mixte paritaire, serait un coup de poignard envers l’agriculture biologique et un signal extrêmement violent de régression écologique, sanitaire et sociale. Lire la suite sur le site de Agir pour l’environnement (et signer la pétition).
Olivier Hamant est biologiste, chercheur à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) au sein de l’École normale supérieure de Lyon. Il dirige également l’Institut Michel-Serres et assure des formations sur une nouvelle relation de l’humanité à la nature.
Dans son ouvrage La troisième voie du vivant (Odile Jacob, 2022) et Antidote au culte de la performance. La robustesse du vivant (Tracts, Gallimard, 2023), il déplie de façon critique (et non-déprimante) la question du dogme de la performance, dans lequel nous évoluons depuis au moins le Néolithique, et qui a été érigé en modèle absolu par une certaine lecture du darwinisme. Il lui oppose le concept de robustesse dont il a observé la prévalence dans les systèmes vivants, végétaux et animaux. Entre la voie de l’optimisation, du contrôle et de la performance, et celle de la décroissance et de l’effondrement, Olivier Hamant aidé des organismes vivants, trace donc une autre voie : la troisième voie du vivant. >> Lire l’article sur le site de la Revue semestrielle des Territoires de la Mémoire.
Que cache le label « Haute valeur environnementale », encadré par les ministères de l’Agriculture et de l’Écologie ? Protège-t-il vraiment les insectes ? Pourquoi fleurit-il dans les rayons des supermarchés, alors qu’en ce moment, les ventes de bio s’effondrent ? Hugo Clément a remonté les filières et découvert des modes de production surréalistes, bien loin de l’image bucolique de son logo. Ainsi, les insecticides qui tuent les papillons sont autorisés. En Loire-Atlantique, des serres de production de tomates hors-sol, labellisées HVE, sont chauffées au gaz et éclairées la nuit, en plein hiver.
Climat, biodiversité, eau, santé, alimentation… Tout est lié. Prendre soin de l’un de ces facteurs sans s’occuper des autres risque d’être totalement inefficace, voire contre-productif. Si cette vision holistique de l’écologie était déjà une évidence pour certains, le message est aujourd’hui martelé par la science. Il est au centre du rapport Nexus, publié le 17 décembre par l’IPBES, la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques. Autrement surnommé « le Giec de la biodiversité », l’IPBES fonctionne sur le même principe que ce dernier. Lire la suite de l’article sur le site de Reporterre.
Comme tous les ans Mickaël, de Terre de simples à Saint Jean le Blanc (14), nous propose sa sève de bouleau locale en bag in box de 3 litres sous 4 parfums: nature, enrichie bourgeons de cassis et bouleau, enrichie bourgeons de romarin, enrichie au « pipi du dragon ».
A noter que Mickaël, cette année encore, n’a pas augmenté ses tarifs. Il s’agit d’une démarche militante qui permet de nous proposer la sève de bouleau à des tarifs accessibles.
Précommande avant le Jeudi 13 février 2024 sur l’adresse coordination [at] coopbionacre.fr ou sur le cahier de commande présent à la coop. Livraison estimée fin février, début mars.
Bergerie de la Souleuvre : Les brebis ont terminées leur lactation, qui reprendra en mars. Les yaourts, tommes, fromages frais et feta seront de retour courant mars 2025.
L’inventaire de milieu de campagne aura lieu le samedi 25 janvier 2025 à partir de 9h30, pour une durée d’environ 2h. Vous pouvez vous y inscrire sur le tableau affiché à la coop. Cela permet de valider les 2 abeilles annuelles.
Sous un temps clément, mais froid, des coopérateurs-trices sont venu-es pour partager des galettes et des bolées de cidre, tout en fêtant les 14 ans d’existence de la Coop (15 janvier 2011).
Portrait sensible et accrocheur, le film « Demain dès l’aube » raconte les engagements pour le vivant de Gaspard Manesse, maraîcher et militant à la Confédération paysanne. Reporterre vous l’offre en exclusivité. Film en libre accès.
Il est maraîcher en Île-de-France, jonglant entre sécheresse et coups de gel. Il est militant à la Confédération paysanne et contre le capitalisme. Il manifeste pour l’eau, de Sainte-Soline à Saclay. Émerveillé par le vivant, passionné par la nature depuis son enfance, engagé contre les forces de répression qui protègent l’accaparement des biens communs, Gaspard Manesse pourrait être le représentant de ces milliers de paysannes et paysans qui ne se résolvent pas à l’empire de l’agro-industrie. La réalisatrice Marie Dubois en tire un portrait sensible dans le film « Demain dès l’aube », mis en ligne le 28 décembre, où l’on passe des grands horizons de la Beauce aux nuages de lacrymogène qui ont voulu étouffer la révolte contre la destruction du monde.
Pour une nouvelle année couronnée de succès, la Coop Bio Nacre invite à partager une galette avec un café ou une bolée de cidre, le samedi 11 janvier à 10h45 à la Coopérative.
L’anthropologue Jean Foyer a passé cinq ans avec des vignerons en biodynamie. Il explique comment ces producteurs ont développé « un rapport alternatif au vivant ».
Issue de conférences données en 1924 par l’auteur et occultiste Rudolph Steiner, la biodynamie propose une approche agricole qui abandonne les intrants chimiques, envisage la ferme comme un organisme complet intégrant polyculture et élevage, et s’appuie sur des principes ésotériques. Lire la suite sur le site de Reporterre